Mon nom est Anonyme et mon travail Indépendant, suivie de près par le Père 1QUISI†3UR un prêtre d'importance dans le Royaume de l'ombre. Il est Souverain de l'Empire de la Messe Noire. Avec tous les privilèges de mon rang, je poursuis mes propres objectifs, en toute indépendance et toute liberté. Les affaires des créatures qui peuplent ce bas monde ne me concerne pas. Que l'on me dise maléfique, quel importance ? Nul ne comprend les vrais principes de mon existence.L'usage sans limite d'un pouvoir dont je suis investi pour le grand bien de l'inquisition.
Underground-Resistance
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«Les militaires ont violé des femmes en pleine journée»
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Anonyme Indépendant Leader
Messages : 83 Date d'inscription : 09/12/2009 Age : 39
Sujet: «Les militaires ont violé des femmes en pleine journée» Jeu 10 Déc - 0:47
Tirs dans la foule, femmes violées, opposants tabassés: de nombreux témoignages soulignent la violence inouïe des militaires qui ont écrasé dans le sang lundi une manifestation pacifique de l'opposition dans un stade de Conakry. {Guinée}
Abdoulaye Bineta Diallo se trouvait dans le stade parmi plusieurs dizaines de milliers de personnes lorsque les militaires ont tiré dans la foule. Il raconte à l'AFP: «L'armée a encerclé le stade, les Bérets rouges (garde présidentielle) ont commencé à faire des tirs. Au départ, on a pensé que c'était pour intimider.»
«Mais les gens ont commencé à tomber, il y a eu panique, il y avait plus de 100 morts» alors que «les manifestants étaient désarmés!».
«Les militaires ont publiquement et en pleine journée violé des femmes, les ont déshabillées et ont tiré par balles sur leur sexe», poursuit-il, bouleversé par ces actes de barbarie. «Ca va provoquer une guerre civile car les gens ne sont pas prêts de pardonner aux militaires, ils ont dépassé les bornes», conclut-il.
Les opposants s'étaient réunis lundi dans le stade pour dire leur opposition à l'éventuelle candidature à la présidentielle prévue en janvier du chef de la junte, le capitaine Moussa Dadis Camara, arrivé au pouvoir il y a neuf mois.
Des témoignages recueillis par l'organisation de défense des droits de l'Homme basée à New York, Human Rights Watch (HRW), confirment cette violence aveugle: «J'ai vu les hommes armés tirer directement sur la foule et tirer en l'air», raconte un témoin.
«J'ai vu des Bérets rouges attraper des femmes qui essayaient de fuir, arracher leurs vêtements et toucher leurs parties intimes. D'autres ont battu des femmes, même sur leur sexe. C'était pathétique, les femmes hurlaient», décrit un autre témoin.
«Les viols ont commencé au stade. Des militaires ont violé des femmes», a confirmé à l'AFP Mamadi Kaba, président de la branche guinéenne de la Rencontre africaine pour la défense des droits de l'Homme (Raddho), une ONG basée à Dakar.
Selon lui, ces viols se sont poursuivis dans les casernes et les commissariats, sur les femmes arrêtées lors de la manifestation, ainsi que dans les heures qui ont suivi dans les quartiers populaires.
Les dirigeants de l'opposition, qui étaient dans le stade pour animer le rassemblement, n'ont pas échappé à la furie des militaires: Cellou Dalein Diallo, candidat à l'élection présidentielle et leader de l'Union des forces démocratiques de Guinée (UDFG), témoigne: «Ils m'ont donné des coups de pieds, ils m'ont cassé des côtes, ils m'ont donné des coups de crosse sur la tête, j'ai failli perdre connaissance.»
Il a assuré que pendant qu'il était à terre et se faisait rouer de coups, l'un des militaires avait lancé: «On va l'achever pour en finir avec cette pagaille.»
Selon l'Organisation guinéenne de défense des droits de l'Homme (OGDH) au moins 157 personnes ont été tuées. L'opposition a fait état d'au moins 128 morts et une source policière lundi soir de 87 personnes tuées.
Dans une interview à Radio France Internationale (RFI), le chef de la junte, a dit être «très désolé».
«Les militaires ont violé des femmes en pleine journée»